Shin marcha, longtemps, au milieu d'une douce foret qui semblait tout à fait normal lorsqu'il arriva dans un paradis sylvestre. Un petit étang d'eau, où s'épanouissait nénuphars et poissons arc-en-ciel, trônait au milieu d'une petite clairière tel son roi. Des plantes toutes plus magnifique les unes que les autres fleurissaient partout, embellissant l'endroit avec leurs couleurs uniques. Une herbe verte claire faisait de ce tableau un œuvre d'art. La journée était déjà bien avancé lorsque Shin décida de faire de cette endroit son abris d'un soir. Juste le temps de se remettre pour son long périple dans ce pays qu'il ne connaissait pas encore assez à son goût. Bien évidement, il ne savait pas encore qu'il allait découvrir un magnifique pensionnat où il logera un instant de sa longue vie.

A ce moment de calme, à ce moment où la nuit s'installait tranquillement, doucement, il pensa et se mit à chantonner calmement une chanson qu'il a toujours su, toujours connu, toujours chanté.

" ♫ Kaze wa tamashii wo sarai ... Hito wa kokoro wo ubau ... ♫ … ♫ "

Il continua sa chanson tranquillement, en observant ce bel étang calme qui refléterai bientôt l'astre de la nuit, du haut d'une branche d'un arbre centenaire. Tous ça, sans se soucié du monde qui l’entourait et des gens qui pouvaient l'observer mais seulement en pensant au prochain ver de ce chant mélodieux.

Alors que je chantais, encore et toujours, un étrange personnage arriva. Et, sans transition ni présentation, elle me posa une question. Incompréhensible, d'ailleurs. Elle me demandai si j'étais pensionnaire. Mais pensionnaire de quoi? C'est alors que je décida d'utiliser ma voix la plus douce possible et de prendre un sourire de confiance.

Pensionnaire de quoi, chère dame? Pourriez-vous m'éclairer?

Sa réponse m’étonna. Normal, dans un sens, car elle ne répondait pas vraiment. Mais je voulais répondre aux siennes. Alors, en gardant toujours un sourire, j'allais répliquer. Mais elle rajouta une phrase qui ne me plût pas.

"C'est le sort qui t'attends si tu nous veux du mal."

Tous ça après avoir, bien sûr, réduit en poussière un oiseaux qui ne demandait que l'asticot sur un petit arbuste fruitier. Ce tous m'énerva. Je n'aimais pas les menaces, et encore moins quand on montre un exemple sur un être innocent. Je décida, à mon tour, de l’impressionner mais à ma manière. La dissimulation dans la forêt n'a jamais été très dur pour moi mais faire ça de nuit était encore plus facile.
Une fois dissimulé entre arbres, mousses et tous les feuillages environnant, je lui répondis d'une voix mystérieuse et froide. Les nombreux arbres donnait l'impression que ma voix venait de partout, mais de nul part à la fois, donnant un secret total à ma position.

Je suis un Elfe, chère Dame. Un Elfe en voyage au tour du monde. Je fais du mal à quiconque s'attaque à un être innocent. Mais je ne m'attaquerai pas à un pensionnat sans problèmes. Je n'aime pas être menacé, ni menacé. Je n'aime pas non plus me battre et c'est pourquoi je vous demande, gentillement cette fois, de faire disparaître cette aura noir malfaisante. Celle-ci n'a l'air de dégager rien de bon pour cet endroit naturellement magnifique.

Et en finissant ces mots, j'entendis un autre oiseau chanter le même chant que celui qu'avait tué la femme en face de moi. Ce chant mélodieux était moins beau qu'avant car accompagné de tristesse et de rage.

Je suis un Elfe, chère Dame. Un Elfe en voyage au tour du monde. Je fais du mal à quiconque s'attaque à un être innocent. Mais je ne m'attaquerai pas à un pensionnat sans problèmes. Je n'aime pas être menacé, ni menacé. Je n'aime pas non plus me battre et c'est pourquoi je vous demande, gentillement cette fois, de faire disparaître cette aura noir malfaisante. Celle-ci n'a l'air de dégager rien de bon pour cet endroit naturellement magnifique.

Je soupirais. Un elfe. Bien que je haïssais ces êtres des forêts, inspirant la bonté et la niaiserie, tant qu'il ne nous voulait aucun mal, cela m'importais peu. Je fermais les yeux. On eut dit que sa voix provenait de nulle part et partout. Déstabilisant. Je ne sentais que très faiblement son aura ma foi fort pure. Qu'importe, de toute manière, il ne désirait pas se battre, et ces êtres pacifistes étaient inoffensifs.
Pourtant, je songeais à une elfe californienne rencontrée sur les toits. Le pensionnat manquait de cette espèce rare, et avec un peu d'entraînement, ils pouvaient devenir "puissants". Je me dis au fond de moi que plus de créatures vivraient dans la nature, plus cela resterait dangereux pour elles. Alors, d'une voix "douce" ( tout est relatif ), je lui répondais.

" Voyageur dis-tu ? Les elfes aiment-ils le danger ? Apprécies-tu d'errer sans but, sans attachés ? Jeune homme, maîtrise tu tes pouvoirs, les as-tu tous découvert ? Accepté tu de faire un marché avec moi ?"

Je soupirais. Je n'etais ni diplomate, ni une experte en matière de négociations. Je reprenais, mal à l'aise.

" Accepterais-tu de passer un bout de ton voyage au pensionnat shinichi, pour apprendre à maîtriser tes pouvoirs ? Ici, tu vivrais sous la protections d'autres créatures magiques. Quelques elfes sont parmis nous. Et si tu ne t'y plaît pas, tu pourras reprendre ta route ... "

Je faisais cesser l'aura qui entourait ma main, et regardais les bois. Je savais que ce futur éleve allait rapidement me détester, et enseigner serait d'autant plus compliqué.

Voyageur dis-tu ? Les elfes aiment-ils le danger ? Apprécies-tu d'errer sans but, sans attachés ? Jeune homme, maîtrise tu tes pouvoirs, les as-tu tous découvert ? Accepté tu de faire un marché avec moi ?

" Oh. " Me dis-je. Oui, j'avais bien entendu un semblant de douceur dans la voix de la femme.

Accepterais-tu de passer un bout de ton voyage au pensionnat shinichi, pour apprendre à maîtriser tes pouvoirs ? Ici, tu vivrais sous la protections d'autres créatures magiques. Quelques elfes sont parmis nous. Et si tu ne t'y plaît pas, tu pourras reprendre ta route ...

Bon, alors, reprenons depuis le début. Voyageur, oui je le suis. Je n'aime pas le danger, et je n'ai aucun attachés. Niveau pouvoir, je me résume seulement à me dissimuler et à faire un branche de bois une arme fatale ou encore parler a certains animaux. Enfin, parler est un bien grand mot.. Alors, si elle parle de pouvoir, ce n'est pas de refus. Je prendrais tous les savoirs, ceux de mon espèce encore mieux. Autant accepté ça proposition, surtout qu'elle à accepté d'enlever son aura noir. Alors je lui répondis, toujours caché.

Je suis un simple Elfe voyageur, sans famille et sans attaches. Je n'aime pas le danger mais j'aime savoir, d'où mon voyage. Je ne connais presque rien de ma race. Tous autant pour mes pouvoirs. Je suis prêt à toutes coopérations, mais seulement passive. Si c'est pour un simple pensionnat où je peux apprendre à me servir de mes dons, je vous dis oui sans soucis. Mais je préviens quand même que je ne suis pas si faible et que peux tolérant envers la violence. Malgré tous, il me semble que je peux vous faire confiance.

Après avoir fini de parler, je sorti de ma cachette, qui avait changé suivant où se dirigeait son regard. J'arriva alors tous de suite dans son dos, après avoir enlevé toutes les brindilles et feuilles de mon corps.

Hum, un avertissement. Je le retiendrai. Jamais me placée derrière un démon. Pfft. Quelle race susceptible. Enfin bon, j'allais enfin pourvoir apprendre davantage sur mon espèce. Elle me tendit la main, et je la pris. Il fallait de toute façon que je m'habitue à sa présence, surtout qu'elle allait être mon professeur. Tant pis pour ma fierté, je la mettrai de côte, le temps de savoir utiliser mes dons.

Je vous suis, alors, Madame la Professeure.

Cette phrase est sans sous entendu, bien sûr. Enfin, pour l'instant. Je commença alors a marcher, dans la direction qu'elle avait indiqué.