Len Akutsu ♬ Espèce : Vampire.♬ Sexe : Masculin.♬ Âge : 17 en apparence ou 72 ans en réalité. ♬ Orientation sexuelle : Hétéro.♬ Origines : Anglaise et Japonaise.♬ Emplois : Etudiant. ♬ Description ~ Physique : Je me sens si bien avec ces cheveux gris, au clair de lune ils reflètent tant mon âme. Une âme si pure mais déchiré par tant de malheurs, qui ont fait de moi quelqu'un de cruel. Et pourtant en apparence, je n'ai pas l'air comme cela ; je suis vêtu généralement d'une tenue assez classique mais classe. C'est à dire, que je porte habituellement une veste noire, avec une chemise à col blanc et un pantalon noir. Cette tenue était toute la classe, la rafinerie de la bourgeoisie dont j'étais issu, mais malgré mon dégout pour les bourgeois, leur tenue était bien la seule chose que j'appréciais.
Ces couleurs sombres éclairer par le blanc de ma chemise, reflète pourtant le côté élégant laissé par mon défunt père, que je n'ai pas eu la chance de connaître bien longtemps. Mon regard perçant couleur parme, donne une impression que je suis dangereux. Il est si envoutant que même les hommes les plus résistants s'y laisserait faire, j'y croirais même que je manipule les gens mais tout de même, je n'y suis pour rien. Que puis-je faire et dire, si les gens sont si faibles pour tomber dans mes filets.
Le standing que j'avais avec tout cela, est accentué par mon visage fin et une corpulence moyenne ( Environ 1m70 ) mais avec un corps bien entretenu, car je sais l'entretenir correctement en faisant du sport, ou en mangeant sainement et équilibrer. Tout cela ne font qu'accentuer le fait, que je fasse tomber les demoiselles si facilement.
♬ Description ~ Morale : À force d'étudier, je suis devenu assez intelligent pour piéger des gens. Je sais c'est mal, mais je n'y peut rien si dans cette société actuelle, le monde est corrompu. Je le sais car en tant que bourgeois, j'ai vu sa tout les jours ; donc en l'état des choses, je suis comme tout le monde. Et pourtant dans la vie de tous les jours, on peut me trouver bizarre, étrange, tout ce que vous voulez ; mais je suis quelqu'un de gentil si on prend la peine de prendre soin de me connaître. Mais à part mon intelligence je suis plutôt ouvert aux gens, mais rares sont les personnes dans le monde qui méritent mon estime et pourtant nul sait le nombre de fois, où j'ai du me casser les dents à tenter de les connaître. Sinon je suis plutôt borné, ayant une grande confiance en soit et ne reculant devant rien.
On peut également me prendre pour quelqu'un de triste, de déprimé ... Mais ce n'est pas cela en tout cas, les évènement de la vie ont fait de moi un être comme cela. Et puis un jour où l'autre, je veux rencontrer l'âme soeur qui me permettra de changer tout cela.
Car ma force pour passer au-dessus de tout, c'est l'amour que me portait ma mère. Elle qui se battait pour toutes causes humaines et qui est morte la dedans. C'est pour cela que chaque jour où je suis vivant, je me dois de tout donner dans ce que je fais pour lui rendre hommage.
C'est pour cela que j'excèle dans énormèment de domaines ( Pour ne pas dire tous ) ; le sport, la musique ... Car malgrè le fait que je suis un vampire, ( héritage de mon père ) je me passione dans tout ce que je fais.
♬ Histoire : Je suis né un beau jour d'été en 1940, à cette époque la guerre était présente. Mais en tant que bourgeois je n'avais rien à craindre, mis à part les regards des gens pauvres qui me voyait mal. Mon père d'origine anglaise, m'enseignait tout ce qu'il pouvait tandis que ma mère, une jeune et belle japonaise me dorlotait et faisait en sorte que je sois bien. J'étais heureux, mais pourtant tout ce qui m'entourait, à part l'amour de mes parents me dégoûtaient. La bourgeoisie ; là où l'hypocrisie, la méchanceté, l'avarice sont totalement présents. C'était tout ce que je n'aimais pas et pourtant, durant toute mon enfance j'ai dû vivre avec cela. Toutes ces personnes qui se faisaient du mal entre eux, alors qu'ils avaient tout, ils se battaient pour des futilités tandis que dehors, ils y avait tant de gens qui souffraient de la famine, des diverses maladies ... Je ne pouvais pas laisser faire ça, donc lorsqu'elle partait aider les pauvres dehors, le minimum de ce que je pouvais faire était d'aller l'aider.
C'est à faire cela que j'ai passé mon enfance, cela en devenait même monotone mais, je n'y pouvais rien. Tout ce que je faisais au moins j'aimais le faire, je l'executais avec passion. M'investir pour la bonne cause, faire du sport, étudier tout cela était fort plaisant ; mais il me fallait autre chose. Prendre part à quelque chose d'autres, j'ai essayé plein de choses durant mon enfance. Je suis tout d'abord passé par des enquêtes de détective, en effet Sherlock Holmes était quelqu'un que j'aime bien ; puis je me suis ensuite mis dans la peau du voleur, du criminel. Et contre toute attente, c'était quelque chose qui me plut énormément ; d'ailleurs lorsque mère me vit comme cela, elle en avait peur. Je peu d'ailleurs la comprendre, car où était passé le jeune et beau garçon intelligent et attentionné que j'étais, qui s'intéressait et aider les plus miséreux. D'ailleurs, même en cogitant sur cela je n'arrive toujours pas à trouver une réponse.
Mais à force de délaisser mon pauvre père, - D'ailleurs c'est lui qui ne s'occupait pas de nous, que pouvais-je donc faire- il a fini par s'enfoncer dans l'hypocrisie du monde où l'on était. On ne pouvait plus l'en sortir, il était comme aspirer dans une spirale infernale.
Nul sait où il allait traîner le soir, ce qu'il faisait ou ce qu'il manigançait ... Mais surtout avec qui ?
C'était à force de traîner partout le soir qu'un beau soir en 1956 lors de mes 16 ans, il n'était jamais revenu. J'avais cru comprendre qu'il était ce soir la saoul et qu'il était avec une femme, - Qu'elle crétin tant mieux qu'il ne revienne pas-. Mais ça faisait surtout de la peine à ma chère mère, de ne plus le voir avec au quotidien etc ; mais pour ma part, sa ne me touchais en aucun point. Il n'était plus présent avec moi, il ne pensait qu'a lui et de temps en temps a ma mère. Donc bon, je m'en fichais un peu qu'il ne soit plus là, même si c'était mon père quoi. Mais ma mère elle, elle l'était là. Chaque jour, elle passait du temps avec moi, elle s'occupait de moi, comme une mère quoi. En ce jour-là, je pouvais donc dire que le jour où je la perdrais ce serait le jour où j'irais en enfer. Car sans elle la vie serait noire elle n'aurait plus d'égayement, elle m'a tout apporté, elle l'est tout pour moi ; je pourrais même dire qu'elle est la seule que j'aime, mais on ne sait jamais la vie est réservée de surprise.
C'est d'ailleurs à une mauvaise surprise que j'ai goûter à l'âge de mes 40 ans. Ma mère se faisait veille, je savais que son heure était pour bientôt mais pas de cette façon. Mais auparavant, de très bonne surprise m'était apparu. Au cas où si un jour je sombrais, je savais comment me reconvertir. En allant aider les pauvres une fois, une vieille folle dégénérer m'avait abordé. Elle m'avait informer qu'elle pouvait reconvertir des gens par un don en vampire, -Je l'ai prise pour une folle au départ- mais en étudiant cela de plus près, je me suis quand même rendu compte que c'était possible. Un jour où l'autre un nouveau départ aurait été nécessaire, mais j'étais petit au fond de moi, j'avais peur de l'inconnu.
Mais l'amour, autre que ma mère m'était t-il apparu ? Je ne savais pas, mais une jeune fille qui était magnifique m'étais apparu un jour lorsque je travaillais avec ma mère. Elle était environ âgé de 25 ans quand j'en avais 35, mais qu'importe elle me plaisait. J'avais essayé d'en apprendre plus sur elle mais en vain, le lendemain elle était juste introuvable. Était-ce donc un miracle alors ? Une illusion m'était-je dis ? mais en vain je n'avais pas de réponse.
Arrivé à mes 40 ans, ma mère était malade. Personne ne pouvait la guérir, elle commençait juste à périr sur son lit. De peur ou de crainte que je ne m'en sorte pas, elle me demandait donc de partir que je ne la vois plus souffrir. Qu'elle puisse mourir en paix quoi, mais sur ces mots elle me demandait surtout d'être heureux, de faire comme bon me semble en bien ou en mal, mais que je sois heureux.
Il fallait alors prendre un nouveau départ, tout ce que je craignais. J'étais donc partit aller voir cette dame qui pouvait me donner ce fameux don, ma mère et moi l'avion beaucoup aidé donc pour nous rendre l'appareil elle accepta. C'est alors qu'elle me mordit très rapidement le coup, puis je m'évanouissais, que dis-je j'étais même mort. -Enfin ce n'était qu'une impression. Et pourtant à mon réveil, 20 ans c'était passé sans même que je ne le sache. Je devais donc m'adapter à cela, mais sous une forme humaine désormais j'étais un beau et grand jeune homme de 17 ans, mais le soir le mal régnait en moi et je répandais le mal en allant boire le sang frais de la population, peu importe où j'allais.
Mais pendant douze ans à faire la même chose, je ne pouvais plus continuer. C'est alors que je me suis mis à errer, ne me nourrissant que de sang et n'attendant qu'une chose un point d'ancrage où je pouvais me poser et construire quelque chose de solide.
Mais un soir, la bonne odeur de sang frais m'avait diriger vers un pensionnat appelé Shinichi.
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