Promenade au jardin [PV libre~]

Quand Saki se réveilla le matin, il n'y avait pas un seul rayon de soleil. De gros nuages gris couvraient le ciel et une pluie fine tombait doucement. C'était un temps que la vampire adorait, au moins elle pouvait sortir à son aise. La demoiselle sauta de son lit en vitesse et alla fouiller dans son armoire à la recherche d'habits en sifflotant joyeusement.

-Alors, alors... Qu'est ce que je vais bien pouvoir mettre aujourd'hui ?

Après une dizaine de minutes, la jeune fille finit par prendre une robe en mousseline mauve et noire, jonchée de quelques petites dentelles de même couleur. Elle l'enfila rapidement, mit une paire de bas noir et des bottes en cuir mauve. Saki se dirigea vers la salle de bain pour se faire un brin de toilette. Une fois cela finit, elle coiffa doucement ses cheveux bruns puis y accrocha de petits rubans, mauve et noir -toujours...-. La jeune fille -qui était d'un coquetterie maladive il fallait bien le dire...- sortit gaiement de la petite pièce. Elle attrapa son parapluie noir et quitta sa chambre.

La vampire marcha joyeusement jusqu'au jardin tout en sifflotant. Elle commença à tourner sur elle même en levant la tête au ciel. Qu'est ce qu'elle aimait la pluie ! D'habitude, le soleil lui brûlait affreusement les yeux et lui donnait des migraines... Les petites gouttes froides qui lui tombaient doucement sur le visage lui faisaient un bien fou. De toute façon elle n'avait pas froid, chose normale pour un vampire... Saki s'avança dans la masse verdoyante et luxuriante qu'était le jardin. Il était immense, parsemé de toutes sortes de fleurs et autres végétaux. Au fond, on pouvait distinguer une petite mare à côté duquel un banc était installé. La demoiselle y courut tout en prenant soin de relever les plis de sa robe, de sorte à ce qu'ils ne fusent pas trempés. Saki s'installa confortablement sur le banc et admira le petit buisson de roses blanches qui se tenait à ses pieds. La jeune fille en cueillit une doucement et huma son parfum. Il était exquis... Elle leva doucement la tête et contempla le jardin. Il était parfait... Gilou avait fait du bon travail ! Les pensionnaires allaient sûrement se plaire autant qu'elle dans cet endroit paradisiaque.
Du moins, elle l’espérait.

Le Jour venait juste de se levait dans la petite chambre qu'occupait Gilles Natsu. Les rayons de lumière traversèrent les rideaux de soie et illuminèrent légèrement la pièce. Gilles ouvrit doucement les yeux. Il n'avait pas rêvé, le pensionnat avait bien ouvert ses portes quelques jours plus tôt. Encore aucuns professeurs n'avaient fait leur entrée à Shinichi. Il avait cependant entendu parlé d'un étudiant arrivé il y a quelques temps au sein de l'établissement, un certain Wellan. Il ne l'avait encore jamais rencontré. Peut être bientôt pensa t'il. La pension était tellement grande. Il se redressa et sortit rapidement de son lit. Il réfléchit deux secondes ; il s'était encore levait du pied gauche. Cella ne lui avait pas encore porté malheur. " Pour l'instant " sourit-il amusé.

Puis la lumière du jour baissa son intensité doucement et de petites gouttes de pluie tambourinèrent contre la fenêtre. Il ouvrit violemment les battants et pencha sa tête vers le ciel : Saki sera contente aujourd'hui ...
L'eau ruisselait sur son visage. Il ferma les yeux, laissant perlait la pluie comme un murmure frais et délicat . Puis soudainement il rouvrit son oeil en sursaut, brusquant la douceur du moment : Ce temps était bon pour le jardin.

"Alors mes pervenches ? Heureuses ? S'exclama t'il, le sourire aux lèvres en direction de l'immense jardin de roses et de jonquilles qui se tenait devant lui. J’espère mesdames que vous profiterez bien !! "

Il ferma la fenêtre, s'habilla en vitesse et sortit dehors, en claquant la porte en cerisier de la chambre. Il vagua dans le labyrinthe verdoyant, sautant gaiement de fleurs en fleurs, accordant de temps à autre, à l'aide de ses ciseaux, une nouvelle coupe à ses petites chéries. Aujourd'hui Gilles Natsu était heureux, très heureux et ça tout le monde devait le savoir.
Il entendit soudain de légers bruits de pas entre les plantes. Reconnaissables entre tous, c'était ceux de Saki. Elle était là, assise sur un banc près d'une petite mare. Gilles surgit brusquement entre les buissons, chantonnant et dressant un large sourire sur son visage adressé à la jeune fille. Il avait certainement l'air d'un fou échappé d'un asile, sortant soudainement de nul part. Il vînt baiser la main de sa douce maîtresse, habillée tout de mauve et de noir.

- Bonjour Ma demoiselle ! Vous êtes particulièrement belle aujourd'hui. Cette robe vous va à ravir, autant que le mauvais temps si je puis dire !

Gilles retira délicatement la rose blanche, que la jeune vampire tenait entre ses mains et l'accrocha au bouton de son vêtement trempé par la pluie. Puis, il prît Saki Himaky et l'entraîna dans une danse rocambolesque, un sourire béa aux lèvres, lui offrant d'ici et là, une pervenche, un coquelicot ou un lilas. Ce couple plutôt loufoque forma ainsi une douce et joyeuse ronde sous la pluie tombant de plus belles.
Soudainement Gilles reposa à terre sa maîtresse et souffla un bon coup.

- Ahh !! Ça va mieux ! Excusez moi mon petit sucre d'orge, mais voyez vous, aujourd'hui je suis au meilleur de ma forme. Mes plantes d'amour se régalent de ce temps et j'en pétille de joie !

La jeune fille sentit quelque chose se rapprocher derrière elle. Qui était-ce ? Elle prit une seconde de réflexion. Il n'y avait qu'une seule personne ici en plus d'elle : Gilou ! Enfin... Il paraissait qu'une autre personne était pensionnaire ici mais Saki ne l'avait jamais vu. On pouvait dire que la directrice faisait bien son travail... En effet, Gilou venait de surgir devant la jeune demoiselle. Il lui prit doucement la main et la baisa.

-Bonjour Ma demoiselle ! Vous êtes particulièrement belle aujourd'hui. Cette robe vous va à ravir, autant que le mauvais temps si je puis dire !

La vampire émit un petit rire. Gilou s'exprimait toujours aussi bizarrement ! Mais bon, à force elle avait l'habitude, et puis cela mettait un peu plus de gaieté dans le pensionnat. Le jeune homme lui enleva la rose blanche qu'elle avait dans les mains et l'accrocha à un de ses boutons. Puis il l'entraîna dans une danse folle en lui offrant au fur et à mesure quelques fleurs. Saki avait laissé tomber son parapluie et son visage se couvrait peu à peu de petites gouttelettes d'eau. Elle regarda Gilou; dans tout les cas elle ne pouvait pas être aussi mouillée que lui... Gilles la lâcha et souffla un bon coup :

- Ahh !! Ça va mieux ! Excusez moi mon petit sucre d'orge, mais voyez vous, aujourd'hui je suis au meilleur de ma forme. Mes plantes d'amour se régalent de ce temps et j'en pétille de joie !

A l'expression "petit sucre d'orge", la vampire piqua un fard. Elle détestait quand il l’appelait comme ça ! Prenant maladroitement son parapluie, elle lui asséna un coup avec. Pas trop fort, mais juste ce qu'il fallait pour l’assommer.

-Ne m'appelle pas comme ça ! lui cria t-elle, rouge comme une pivoine.

Après tout, elle n'était plus une enfant... Donc il n'avait pas à l’appeler comme ça! Saki se rassit sur le banc, posant son mini bouquet sur ses genoux. Elle le détailla un instant du regard. C'était vrai qu'ici, toute les fleurs étaient magnifiques. Gilou s'occupait vraiment bien du jardin. Cela expliquait pourquoi il était de si bonne humeur. Enfin... quelqu'un de normal aurait sûrement réagis autrement... La vampire se tourna lentement vers son serviteur. Peut être avait elle frappé trop fort...

Gilles Natsu venait de se prendre le parapluie de sa maîtresse en pleine tête. Maintenant la douleur fusa et tambourina dans son crâne intensément.

- AïE !!

Il s'y attendait plus où moins, Saki n'avait jamais apprécier qu'il l'appelle par des surnoms aussi familiers. Cependant, c'était sa manière à lui de s'exprimer et de désigner, sa jeune maîtresse, qui était pour lui, plus encore. Simplement la seule personne qu'il respectait dans un monde qui avait toujours était égoïste avec lui. Elle lui avait apparu comme un espoir. Un refuge. Jamais, Gilles Natsu n'arrêtera de nommer sa maîtresse par des surnoms, qui peuvent bien paraître loufoques, et ça, tout les parapluies assommeurs du monde, ne pourront rien y changer. C'était sa manière à lui, d'exprimer son affection.

- Je vous ai déjà expliqué, que les coups que vous assénez sur moi ne changerons pas la structure de mon cerveau.
Puis il ajouta, un sourire mesquin aux lèvres, Je suis désolé mais je suis né bête et je le resterai !

Oui, Gilles Natsu resterait toujours cet personne timbrée, ce jeune homme entièrement à l'ouest dans les discutions philosophiques, l'homme naïf par excellence. Saki sera toujours à ses côtés, l'hirondelle sombre et gracieuse et lui, le cachalot nageant dans l'océan comme dans ce monde trop sérieux pour lui.
Saki s'était rassit sur le petit banc, et elle le regardait fixement de ses beaux yeux gris. Il vînt s'asseoir à ses côtés et lui offrit sa main, pour l'emmener faire un petit tour du jardin, à ses côtés. Après tout, tout deux pouvez bien, s'accordez un petit temps de repos. Leur travaille au sein de l'établissement, pour la rénovation, était achevée. Maintenant, c'était une nouvelle vie, qui s'offrirait à eux.
Comme disait le proverbe latin, inventé par ses soins :

"Boulotus finus dormus commun porc-épus !!! "

Le jour se leva & Michiko se réveilla.
Elle alla se laver & s'habiller avec les même habits que la veille.

Elle sortit de la chambre & veilla à bien refermer la porte, une fois cela fait, elle la ferma à double tour.

Elle se dirigea vers le jardin. La fraîcheur du vent réveilla pour de bon Michiko & son fidèle Akuma.
Elle se posa sous un arbre & continua à écrire la chanson qu'elle avait commencé la veille. Les paroles lui venaient comme par magie. Serait-ce ce lieu qui permettait à l'imagination de notre Neko de s'épanouir ?
Akuma s'éloigna sans que Michiko s'en rende compte.

Quelques minutes plus tard,
« Tiens où est Akuma ?»
Elle referma son cahier & regarda alentour.
«Akuma, Akuma !!!»
Elle courut partout : « Akuma où es-tu ?»
Michiko était paniqué, jamais elle n'avait été séparée d'Akuma. Des larmes coulèrent sur ses joues.Elle courut de plus belle quand elle vit Gilles.
« Gilles, dis, tu n'aurais pas vu Akuma ? C'est mon chat ?» Les larmes coulèrent sur ses joues telles un torrent.
Voilà qu'arrive Saki-sama.
«Saki-sama, vous n'auriez pas vu mon chat?!!»

Cette fois ci, Saki ria à gorge d'éployée. Quel idiot ce Gilou ! "Je vous ai déjà expliqué, que les coups que vous assénez sur moi ne changerons pas la structure de mon cerveau."La jeune fille essuya les petites larmes qui coulaient de ses yeux. Le jeune homme lui pris doucement la mains pour l'emmener faire un tour dans le jardin. La vampire se laissa faire, docile. Mais quand elle entendit Gilou réciter :

-Boulotus finus dormus commun porc-épus !!!

Cette fois, la jeune fille se laissa presque tomber par terre, pliée de rire. Elle s'accroupit dans l'herbe, à court de souffle. Levant légèrement son parapluie pour pouvoir voir le visage de Gilou elle lui dit.

-Boulot fini, dormir comme un porc-épic ?demanda t-elle hilare.

Soudain, une jeune fille en larmes accourue près de Gilles. Saki la détailla avec insistance. Elle avait de beaux cheveux châtains parsemé de mèches vertes et de profonds yeux noirs. Mais, plus important encore elle avait deux petites oreilles de chat. Une neko ? Un néko qui en plus était nouvelle ! La vampire s'agita intérieurement. Enfin ! Enfin une nouvelle ! Mais celle-ci paraissait paniquée et pleurait. D'après ceux qu'elle disait, elle avait perdue son chat Akuma. La neko se tourna vers elle et lui demanda.

-Saki-sama, vous n'auriez pas vu mon chat ?!!

Saki regarda à droite et à gauche. Bizarre qu'elle n'avait pas vu ce chat passé... Soudain, elle distingua une tâche noire sous la pluie. Était-ce Akuma ?

Gilles Natsu avait une fois de plus fait rire sa douce maîtresse. Il arbora un large et doux sourire. La jeune fille aujourd'hui ressemblait à une poupée de porcelaine avec sa peau blanche comme la neige et sa robe de soie et de mousseline. Son parapluie, entre ses mains délicates, comme une ombrelle.

-Boulot fini, dormir comme un porc-épic ? demanda Saki, en trépassant de rire.

Le jeune homme allait lui répondre quand il entendit des plaintes et des cris venant du fond du jardin, rompant ainsi le silence, ce doux silence mystérieux que formait l'aura des plantes et du jasmin. C'était une voix féminine qui appelait au loin. Gilles se retourna et vit une jeune neko arrivée en courant vers lui. Elle possédait deux petites oreilles sur sa tête. Les cheveux noirs parsemés de mèches vertes, habillée tout de noir, elle pleurait abondamment.

-Gilles, dis, tu n'aurais pas vu Akuma ? C'est mon chat ? demanda t'elle en s'approchant de lui, les yeux embués de larmes.

Gilles était constamment, incrédule, étourdi et dans la lune. Un éléphant aurai pu passé à deux mètres de lui qu'il ne l'aurait pas vu. Le chat était peut être arrivé en plein milieu de la zone où il se trouvé avec Saki, mais il n'en s'était pas rendu compte en tout cas.

-Non, désolé, je ne l'ai pas vu ...

Natsu avait toujours deux minutes de temps de réaction. Il devînt soudain blanc : son chat s'appelait Akuma. Démon en français. Il voulu aidé la jeune neko à cherché son chat, mais il n'osa pas prononcer le mot "Akuma". Il ne voulait pas que ce nom puisse lui porter malheur ! Avec toute les précautions du monde, il se mit à fouiner entre les plantes en l'appelant.

- Petit, petit, petit ! Akuna ! Petit .. Aku.. na ! Où es tu ?

« Non, désolé, je ne l'ai pas vu ... »

Quand Michiko entendit la réponse de Gilles-san, ses larmes redoublèrent. Soudain, elle vit le jeune humain poussait les herbes ::

« Petit, petit, petit ! Akuna ! Petit .. Aku.. na ! Où es tu ? »

Intérieurement, Michiko rigolait. Un jolie petit sourire timide se forma sur son visage mais les larmes le cachait.

Soudainement, une tâche noire monta sur le dos de Gilles-san, qui s'était courbé pour mieux pousser les herbes. Michiko poussa un petit cri & sauta de joie ! La tâche noire en question, c'était AKUMA !!

Quand Gilou répondit à la réponse de la neko, celle ci fondit en larme. Saki fouillait du regard le paysage, elle était pourtant sûr d'avoir vu ce chat. Soudain, elle entendit derrière elle Gilles appeler :

-Petit, petit, petit ! Akuna ! Petit .. Aku.. na ! Où es tu ?

La demoiselle ne pouvait se permettre de rire dans un moment pareil, mais la situation était risible. Elle connaissait parfaitement son serviteur pour savoir qu'il n'osait pas prononcer le nom d'Akuma. Joli prénom d'ailleurs...La demoiselle ne laissa pas son amusement prendre le dessus et garda une expression neutre. D'une voix forte elle appela :

-Akuma, où es-tu ? Allez, montres toi petit chat !

Soudain, la vampire entendit un petit cri de joie. Que s'était il passé, ils avaient retrouvé le chat ? Saki se retourna rapidement et cette fois explosa de rire. Akuma, était posté sur le dos de Gilou et ronronnait. Le pauvre Gilou ! Lui qui avait sans doute un peu peur de ce chat, le "portait" sur son dos. La demoiselle se cacha derrière son parapluie pour cacher son visage écarlate. Il n'y avait pas une seule journée où elle ne rigolait pas !

Gilles Natsu était entrain de chercher le petit chat quand il entendit Michiko derrière lui qui poussa un cri de joie. Il se retourna rapidement vers les deux jeunes filles. Saki explosa de rire. Soudain, il sentit de petites griffes s'implanter doucement sur son dos. Des sueurs froides descendirent sur son visage. Non ! C'était comme même pas ce qu'il pensait ! "Pourquoi moi ??" pensa t'il avec amertume. Le chat sur son dos poussa un petit miaulement..

-ET M**** !

Il se releva et poussa violemment Akuma en criant. Si il avait peur d'une chose, c'était bien les animaux. Petites où grosses bêtes, aucunes n'étaient son fort. C'était même un phobie pour le bon vieux Gilou. Alors un chat sur son dos - qui en plus se nommer Akuma - c'était bon pour faire un crise cardiaque.
Maintenant, il était là gambadant dans le jardin, dans tous les sens, poursuivi par le chat noir qui lui courait après. Qu'il avait l'air ridicule, les bras sur la tête, criant à pleins poumons et courant comme un fou en levant les pieds vivement.

« ET M**** ! »

Michiko esquissa un large sourire quand elle vit le jeune homme courir, apeuré par son chat !
Elle se mit donc à la poursuite d'Akuma ! Mais que ce chat est rapide ! Ne pouvant le rattraper avec sa vitesse humaine, la neko fut obligé de se transformer ; Neko e no tenkan. Sous sa forme de chat, Michiko courait bien plus vite et était presque au niveau d'Akuma quand celui-ci fit demi-tour, oubliant Gilles-san. Michiko s'arrêta ; Akuma .. toujours aussi filou .. ! Elle courut encore plus vite. Akuma sauta prodigieusement haut et retomba sur une branche d'arbre, puis sauta de branches en branches pour presque atteindre la cime de l'arbre.

« Fukkyū. »

Michiko était redevenu mi-humaine et soupira ;

« Quel baka ce chat .. Il ne pourra jamais redescendre tout seul. »

La neko remonta les manches de son pull et s'approcha de l'arbre. Avec une agilité incroyable, elle monta sur la premier branche, et par deux fantastiques sauts, elle arriva sur une branche, faisant face au chat, un dernier saut lui permis d'attraper le chat.

« Mission accomplie ! cria-t-elle, un large sourire sur son visage de gamine. Et .. Désolée pour cette frayeur Gilles-san ! »

Le chat dans les bras, elle redescendit et alla rejoindre Saki-chan et Gilles-san.

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