Ω Fubuki ΩΩ Espèce : Cyborg
Ω Sexe : Féminin
Ω Âge : D'apparence, seize (10 ans)
Ω Orientation sexuelle : A déterminer, ça reste quand même un cyborg.
Ω Origines : Japonaises
Ω Emplois : Etudiante
Ω Description ~ Physique :La première chose que l’on remarque chez Fubuki, c’est bien sa façon de se déplacer : svelte et gracieuse, elle avance d’un pas chaloupée, même si de temps à autre, il arrive qu’on remarque un mouvement plus raide que les autres.
La cadence de l’amour.
De taille moyenne et plutôt fine, elle porte les formes d’une femme. Au vu de son style vestimentaire, elle n’aime pas vraiment se mettre en valeur : un simple gilet noir, un short relativement court et une paire de bottes de la même couleur. Elle porte également un bandeau rouge et noir pour soutenir ses cheveux constamment en bataille. D’un rouge écarlate, ils volètent au gré du vent, et font penser à des flammes dansantes.
Un brasier éternel.
Mais la chose qui surprend le plus, c’est bien la splendeur de son visage. Elle porte les traits fins des jeunes femmes qui viennent de sortir de l’adolescence, ainsi que le fameux nez nippon, long et mince. Mais ses yeux sont bien le plus extraordinaire sur son visage. Deux boules lumineuses brillants d’un éclat incroyable, d’un bleu si profond que l’on pourrait penser pouvoir entrevoir l’âme de Fubuki en s’y attardant trop longtemps, mais quelque chose ne va pas dans ses yeux scintillants d’une lueur surnaturelle. Ils sont peut-être même trop beaux pour être vrai ?
Joyaux perdus au cœur des ténèbres.
Quand dans un mouvement un peu trop brusque son gilet se soulève, on peut apercevoir une sorte de code barre sur sa hanche droite : ‘’ Vision d’E.V.O « Fubuki 07 »’’. Le doute n’est alors plus possible, et la vérité saute aux yeux : Fubuki est une machine.
La mécanique de la vie.
Ω Description ~ Morale : Fubuki n’a rien d’une machine ordinaire. Son I.A est développée à un point où elle est capable d’évoluer, d’apprendre et de s’adapter aux différentes situations, autant dire qu’elle pense presque comme une humaine ordinaire. Presque, mais pas complètement. Oui, son intelligence artificielle est incapable de lui donner quelque chose de bien particulier : de l’empathie. Ainsi, son sens moral se voit réduit à néant. Elle ne serait différenciée le Bien du Mal. Pour elle, c’est une notion qui n’a aucun sens logique.
Dans la vie de tous les jours, Fubuki est plutôt discrète, mais quand elle s’adresse à quelqu’un, on lui découvre une nouvelle nature : directe et sans aucun tact, elle va droit au but, sans se préoccuper des détails.
Souvent brutale, elle n’hésite jamais à user de la force pour obtenir ce qu’elle désire ardemment, cependant, elle est capable de ‘’tendresse ‘’ envers les êtres qu’elle considère comme ses alliées.
Il faut également préciser qu'elle ne sait absolument pas se débrouiller seule: elle n'a jamais vraiment connue le monde extérieur jusqu'à maintenant, elle apparait donc comme quelqu'un qu'on pourrait qualifier de "retardé" vis-à-vis de certaines choses qui semblent pourtant logique, par exemple, les voitures, l'histoire, la cuisine, l’algèbre, les tâches ménagères, la pudeur, l'écriture...
Ω Histoire :
- Projet E.V.O -
Tôt ou tard cela devait être découvert. Les humains ne sont pas la seule espèce intelligente évoluant sur cette terre. Après études, les autres espèces furent déclarées dangereuses par la majorité des gouvernements. En réaction à cela, et afin de contrer cette menace ignorée de tous, le Projet E.V.O fut initié par des scientifiques Japonais, afin de doter l'humanité des moyens de se battre à arme égale contre ces êtres "surnaturels". Il fut divisé en trois branches de recherches, chacune tentant de "mettre à niveau" l'humanité, le tout dans une compétition permanente afin d'obtenir une productivité maximale. Génétique, Robotique, et Mystique. La seconde branche consistait à la création d’une race supérieure aux humains, la race des Cyborgs…
Le chef de projet – Taro – observait toujours la mise en marche d’un nouveau modèle de cyborg. C’était toujours le moment décisif, où l’on incrustait la pile nucléaire dans le sarcophage de métal. Il avait toujours l’impression qu’on donner la vie à un nouvel être quand tout se passait bien. Enfin, qu’on redonnait vie à un nouvel être, dans son cas. Chacune de ses créations était une imitation de ce que fut sa fille il y a des années de ça, avant qu’elle ne périsse dans une maladie. Mais au-delà de l’apparence, elle copiait également les souvenirs et l’ancienne mentalité de son enfant, programmant ainsi le cyborg à se croire et à se comportait comme un humain. L’unique différence avec sa fille était ses capacités physiques : les robots ‘’Fubuki’’ étaient conçus pour être des machines de guerre, des armes de destruction…
Un dimanche ensoleillé
Le soleil est à son zénith. Père est à ma droite, mère à ma gauche. Nous sommes si bien, là, sur cette étendue d’herbe verte. Oui, que nous sommes bien, ici. Nous sommes un dimanche, un des rares moments où l’on peut se réunir en famille. Que j’aime ces jours-là, les dimanches. Vraiment.
C’est donc un dimanche midi, et comme tous les dimanches midis, nous faisons un pique-niqùe dans notre parc, oui, notre parc. Papa est très riche grâce à son travail ! Il peut nous acheter tout ce qu’on veut, à Maman et à moi-même. Je n’ai jamais vraiment compris dans quoi il travaille. Quelque-chose comme un grand projet secret, avec des robots, comme dans les dessins animés ! Je suis sûr que Papa est un genre de super héros…
Oui, ça ne peut-être que ça, Papa doit être un super héros. Sinon il serait plus souvent à la maison.
Eh oui, donc aujourd’hui nous avons… Oh, que je suis fatiguée. Je vais dormir là, sur les genoux de Papa…
Cauchemar Mécanique
Mon ventre est ouvert, mais mon sang ne coule pas. On me retire des organes, mais je ne souffre pas. Des hommes en noirs me fouillent de l’intérieur avec des pinces et des outils que je ne connais pas. J’ai froid. Pourquoi suis-je attachée à cette table, dans cette pièce grisâtre, seulement illuminée par un faible rayon vert ? Pourquoi des fils électriques me sortent du ventre ? Je ne comprends pas. Papa. Je vois Papa, là-haut, derrière une vitre. Il me regarde, mais ne fait rien pour m’aider. Peut-être suis-je punie ? C’est injuste, je n’ai rien fait ! J’ai froid. Je vais briser mes liens, je ne vais pas me laisser faire, je ne vais pas laisser ces hommes en noir me tuer de l’intérieur !
J’ai réussi à me lever, mes chaines sont détruites. Mes meurtriers ont peur, ils reculent, cognent à la porte, mais elle ne s’ouvre pas.
Papa me regarde, comme s’il attendait quelque chose ?
Je ne comprends plus ce que je fais, je bondis sur les hommes en noirs, et les frappes, les frappes, les frappes.
Je suis dans une pièce rougeâtre, éclairée par un faible rayon vert, je ne sais pas où je suis.
Mais j’ai chaud, désormais.
Les fleurs du cerisier
Quel cauchemar ! Je me réveille, en sueur, dans mon lit. J’ai dû dormir longtemps. Trop longtemps. Je n’ai jamais fait de rêve comme ça, auparavant. J’ai dû trop regarder la télé. Maman me dit souvent que j’ai une trop grande imagination, en voilà la preuve ! Je me lève, mais mes jambes sont lourdes… Mon dieu, je me sens toujours si fatiguée... Un peu de courage, Fubuki, un peu de courage, il est toujours difficile de se réveiller après une bonne sieste, c’est sûr. Peut-être qu’un peu d’air frais me ferait du bien. Oh oui, quelle bonne idée. Oh, d’ici, je peux même voir mon cerisier… Il est en train de fleurir… Je ne me souvenais pas que c’était déjà le printemps. J’entends Papa et Maman en bas… Et une autre voix. Je vais descendre voir qui c’est ! Ce n’est pas souvent qu’on reçoit des visiteurs ! Je me rapproche, ils doivent être dans le salon… Il est là... C’est un homme en noir ! Et… Et… De sa mallette dépassent des instruments étranges… Comme dans mon cauchemar ! Mes parents et le meurtrier me regardent avec de grands yeux étonnés, comme si je ne devrais pas être ici. L’homme en noir se lève, et se dirige vers moi… Ah non, je ne vais pas me faire ouvrir le ventre, non, non ! Pas comme dans cet atroce cauchemar ! Je vais me planquer dans ma chambre, oui, voilà ! Je cours plus vite que ce grand bonhomme, et j’ai même le temps de fermer la porte à clé. Pfiou ! J’ai eu chaud… J’ai chaud… Je… Je crois que je suis encore plus fatiguée qu’avant… Ça cogne à la porte, ce bruit… Ça me fait mal au crâne ! Qu’il arrête, qu’il arrête ! Je saute sur mon lit et couvre ma tête sous un coussin.
Qu’il arrête ! Qu’il arrête ! Qu’il arrête ! Qu’il… Arrê…te…
Métal hurlant
Mes bras plongent dans le corps de métal de cet être qui se trouve devant moi. Mes mains attrapent ses fils, ses organes, sa chaire et les retirent d’un coup sec. J’entends son dernier crissement de douleur, avant qu’il ne s’effondre à mes pieds. Qu’est-ce que j’ai fait… ? J’entends des applaudissements autour de moi, et je vois ces hommes, derrière des vitres. Ce sont qui me… Félicitent ? Je vois Papa, qui lui, n’applaudit pas. Il me regarde simplement. Puis, plus personne n’applaudit et plus personne ne me regarde. Pourquoi ? Tiens, quelque chose est différent… Un bras dépasse de mon ventre. Un bras de métal me perce ! Que… Que dois-je faire ! Il va me tuer, il va me tuer ! Qu’il arrête, qu’il arrête !
Je donne un coup de coude en arrière, le bras disparait de mon ventre, c’est gagné ! Je me retourne, et découvre un homme de métal. Ses yeux bleus me fixent, il veut me tuer, ça se voit. Mais je ne vais pas me laisser faire, je veux que Papa me félicite, lui aussi !
Alors, je bondis sur mon ennemi, et d’un mouvement sec, une lame sort de mon avant-bras droit et s’enfonce dans le crâne du robot. Je l’ai eu, je l’ai eu ! Je l’ai eu ! Fière, je me retourne, tout le monde applaudit encore une fois. Sauf Papa. Pourquoi ? Pourquoi ne me félicites-tu pas ? Finalement, ne m’aimes-tu donc pas, Papa ? Je cours vers la vitre, et commence à la frapper de toutes mes forces, les hommes en noirs reculent, sauf toi, Papa. Je continue, mes mains explosent contre cette vitre qui semble incassable…
Papa, aime-moi ! Papa !
Plafond inconnu
… ? … Plus de bruits… L’homme en noir ne cogne plus à ma porte ? Je retire le coussin de mes oreilles, et jette un regard à ma… Ce n’est pas ma chambre ! Je suis dans une salle, toute blanche… J’ai des tubes qui me rentrent dans les bras ! Suis-je encore dans un de mes cauchemars ? Je… Mes cheveux sont plus longs ! Je me lève, je suis bien plus grande… Je suis attachée à une grande machine ! Je tire sur mes tubes, la machine m’accompagne. Je suis libre de mes mouvements ! J’observe cette pièce… On dirait une chambre d’hôpital. Mais c’est une chambre d’hôpital, je reconnais l’odeur ! Oui, j’y étais déjà allé pour voir Maman, quand elle était tombée très malade, un jour. Mais… Pourquoi suis-je dans un hôpital, moi aussi, je suis malade ? Pourtant, je n’en ai pas l’air… J’entends des pas, vite, il faut que je retourne dans mon lit ! Je fais comme si je dormais. J’entends des voix… Comment ça, ça fait un trois ans ? Incurable ? Hausse de température ? Aucun signe de retour ? Je ne comprends rien, rien, rien de rien ! Les voix cessent, les pas s’éloignent de nouveau. J’ouvre les yeux, et la seule chose que je vois distinctement, c’est le plafond, le reste est flou… Il est si blanc… C’est si calme, si… apaisant.
Le démon aux émeraudes
C’est l’heure de prouver à Papa qu’il peut être fier de moi. Oui, c’est le moment. J’ai entendu, les hommes en noir dirent, qu’il fallait que j’affronte une adversaire particulièrement forte. C’est d’ailleurs pour ça qu’ils m’ont donné de nouvelles armes ! On m’emmène dans de nombreux couloirs, et on me jette dans une grande salle circulaire… C’est gigantesque, plus grand que tout ce que j’ai connu… Oh, au fond, il y a quelqu’un… sûrement mon adversaire ! De taille moyenne, de longs cheveux noirs, ses yeux brillent d’un vert éblouissant… Il ne faut pas que je la sous-estime, c’est peut-être un démon.
Elle s’avance doucement vers moi, je me mets en garde, il faut que je sois prête ! Elle pointe quelque chose sur moi… Je ne sais pas… Tant pis ! Je fonce sur elle, elle n’aura rien le temps de faire ! Une détonation… Une douleur dans l’épaule… Je… J’ai quelque chose dans l’épaule ! Elle m’a lancée quelque chose ! C’est bien un démon ! Un démon ! Il ne faut pas que ses… Elle me vise encore une fois avec ses choses ! Elle ne m’aura pas, non ! Je saute en l’air, elle ne me touchera jamais, si haut. Elle continue de lancer ses choses, mais c’est inutile, je suis bien trop rapide. Je vais tomber sur elle, et la détruire d’un coup de poing. Elle me tourne le dos, tellement facile… Elle se retourne ! Une nouvelle détonation, différente… Elle m’a stoppé ! Ma main fond… Ma peau… Je… Je… J’ai une main en acier ? Je suis au sol, à genoux. J’ai une main en acier. Une prothèse ? Je suis au sol, je vais mourir. J’ai une main en acier… Je suis au sol, je vais mourir… Non ! Je glisse, et fauche mon adversaire, c’est à son tour de tomber… Pendant sa chute, je lui donne un coup de poing. De ma main d’acier… Elle s’envole ! C’est gagné, je n’ai plus qu’à l’achever. Je cherche Papa du regard… Je ne le trouve pas ! Papa ?! Où es-tu ? Papa ! Papa ! Il faut que je la tue, c’est ça ? Très bien, Papa ! Je vais… Une décharge électrique… Plus rien.
Construit par l'homme
Encore ce plafond blanc. Cette odeur d’hôpital. Je ne comprends plus rien, ça n’a aucun sens. Ces cauchemars… Ces réveils… Est-ce que je deviens folle ? Je commence à perdre la tête ? Je suis encore plus grande, je ressemble à une femme… Papa est là, au bord de mon lit. Très bon combat ? Comment sait-il pour mon cauchemar ? Que fait-il là, dans l’hôpi… Je jette un regard à ma main droite. Une main d’acier. Puis je regarde mon père, il continue de parler de combat, de technique… Je ne comprends rien. J’ai froid… Si froid… J’essaye de comprendre, mais ça n’a pas de sens. Cette vie n’en a aucun. Et si j’étais morte ? Et si… et si j’étais morte ? Ce n’est pas logique, je suis là, Papa me parle ! Il me parle ! Je le vois ! Il est là, il est là ! Il a toujours été… Quel est le nom de mon père ? Quel est le nom de ma mère ? Quel mon propre nom de famille ? Où est-ce que j’habite ? Je me souviens de ma chambre, du parc, de l’hôpital… Je… Et si c’était faux ? Le cauchemar. Les hommes en noir. Mes fils et mes organes en métal, ma main d’acier… Les robots… Je suis un robot. Je suis une machine. Fubuki, ce n’est pas moi. Ce… ce n’est pas mon père, ce n’est pas mon père ! Tu n’es pas mon père ! Monstre ! Monstre ! Je vais te tuer ! Je vais te tuer ! Je vais… te… Tuer… Une nouvelle décharge.
Sœurs jumelles
Cette fois, je ne suis pas dans un lit. Non. Mais dans sarcophage de métal et de verre. Je suis dans de l’eau, vais-je me noyer ? Non. Je suis un robot. Ma prison tremble, j’entends des sirènes. Que se passe-t-il ? Je veux vivre, je ne veux pas mourir ici. Je veux découvrir… Qu’est-ce que je veux découvrir ? Je brise le verre, l’eau s’écoule en dehors de ma capsule. Je suis livre. La pièce est éclairée par une faible lumière rouge. Autour de moi, des autres capsules. Avec des autres moi… Ils sont pareils… Père n’était pas mon père et n’était pas le leur. Je suis donc une pâle copie d’un original humain… J’entends une porte s’ouvrir, un homme surgit, avec une arme presque identique à celle du démon aux yeux verts. Sauf que cette fois, je ne lui laisse pas le temps de l’utiliser. J’enfonce ma lame dans son ventre, et commence à sortir. Tout tremble, des gens courent, en hurlant. Il y a du feu, par-ci par-là. Je me balade dans les couloirs, tuant ceux qui cherchent à m’arrêter. Que dois-je faire… ? Aller dans ce monde que me montraient mes faux souvenirs ? Je pourrais ainsi avoir de véritables souvenirs, bien à moi… Oui, je vais sortir d’ici ! Je cours, à la recherche d’une sortie, parcourant les couloirs, glissant sous les portes qui se ferment sur mon passage. Je veux vivre, vivre ! Je veux avoir une vie ! Je veux savoir ce que ça fait, d’être vivante ! La lumière, je vois la lumière. De la vraie, du soleil. Comme pendant ce dimanche ensoleillé, oui, la même. Sauf que celle-là, je la vois de mes yeux à moi ! Vite, il faut que je fasse vite. La porte commence à tomber, elle tombe trop vite, elle commence à cacher cette magnifique lumière… Je glisse, tends mes bras et la retiens… Elle ne peut pas se fermer, non, elle ne peut pas ! Je veux vivre, voir le monde extérieur de mes yeux ! Je ne peux pas avancer, si je lâche, la porte va m’écraser… Une détonation. Puis, la porte cessa de forcer sur mes bras. Je peux passer. De l’autre côté, je remarque quelqu’un… une femme… Le démon aux yeux verts… C’est donc elle qui m’a aidé…
Un monde de Couleurs
Nous voilà perdues dans cette forêt, impossible. Gunslinger et moi errons à l’intérieur depuis des jours, je l’aime bien. Elle est comme moi, et j’apprends beaucoup de chose à ses côtés, par exemple, la nécessité de porter des vêtements. Elle m’en a d’ailleurs trouvé dans une cabane abandonnée. Elle en a aussi retiré un paquet de ‘’clopes’’ , un petit cylindre bourré d’une substance qui fait du bien, d’après elle. Alors, je l’imite. Au bout d’un moment, on est tombés sur le Pensionnat. Alors, on y est allé, faute de mieux.
♪ Pensionnat Shinichi ♪
♪ Code du règlement :
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♪ Des remarques ou autre par rapport au forum ? :
Il est joli. Peut-être les sections sont-elles trop grandes ?
♪ Premier compte ? : Oui [X] . Non [ ]
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Par le plus grand des hasards, via une recherche google.