Lien Musical (si vous souhaitez rajouter un plus à mes Rp's biensur!) :
https://www.youtube.com/watch?v=Fh_-kdoBm6g&feature=related-Donc... chambre numéro 9. Et j'suis seul!
Quittant la réception, Lance se mit à dévaler dans une série de couloir sombre et silencieux. Du coup, il s'étonna d'être seul dans les corridors. Aucun ''mutant'' ou autre ''monstre'' ne se fit apercevoir. C'était...calme. En entrant dans le pensionnat Lance avait une énorme crainte et plusieurs préjugés sur sa rencontre avec les autres êtres mystiques avec qui il cohabiterait, le calme dans lequel il avait été plongé après son départ de la réception ne fesait que l'inquiété d'avantage. Il avait beau faire nuit mais il n'était pas si tard. Peut-être bien qu'un couvre-feu était imposé au élève et qu'ils ne pouvaient pas gambader dans les couloirs librement après une certaine heure. Après cette longue discussion intérieur, Lance parvins enfin à la chambre qui portait le numéro 9 en plein centre de la porte.
Griiiiinnnnnnn ...
La porte glissa un drôle de grincement aigu dans le silence du dortoir, se qui glaça d'avantage le sang de Lance. Il poussa la porte d'un air désigné et derrière cette porte de bois se cachait une chambre accueillante, petite mais accueillante. Malgrés tout, Lance était habitué au luxe et au grand espace. Cette environnement lui plaisait bien par contre. Quelques chose venait percer son attention... Accueillant ce doux mot qu'il n'avait pu interpréter depuis maintenant un ans. Le calme et un accueil dans ce calme. Magnifique. Lance resta figé facilement cinq minutes devant la salle vide avec ce mot qui grisonna dans sa tête creuse.
-Allez Lance, on entre et on dépose nos trucs.Lance aimait bien se glisser des paroles du genre, comme si il fesait la narration de sa vie. Il entra dans sa chambre qui était maintenant devenu l'endroit où il vivrait. Déposa ces choses où il lui semblait le mieux et souri.
-Welcome home Lance Vendal! Après cette entré dans le pensionnat Shinichi, Lance se changea et se sortit de sa chambre pour découvrir les fameux ''gens comme lui'' que lui avait glisser son père avant son départ de New York.